Le RSMA de Martinique inaugure un nouveau bâtiment (SMCA) et favorise l'ouverture à l'art

© RSMA Martinique

Le RSMA de Martinique inaugure un nouveau bâtiment (SMCA) et favorise l'ouverture à l'art

Le RSMA a franchi une nouvelle étape dans sa mission de formation et d’accompagnement des jeunes, en inaugurant ce matin un bâtiment entièrement dédié aux matériels pour les volontaires du régiment. Un événement qui s’est doublé de l'inauguration de la fresque artistique intitulée "Le quartier des sourires", réalisée par Madame Michalon et Monsieur de Sieter, deux artistes Martiniquais.

 

Un double engagement : capacité de stockage et éveiller la jeunesse à l'art

À l’image du dispositif national du « 1 % artistique », le RSMA a lancé un appel à candidature pour la création d’une œuvre originale destinée à embellir le quotidien des volontaires. Objectif : favoriser l’accès à l’art, tout en valorisant les infrastructures militaires.

« Ce projet était une excellente occasion de promouvoir l’art dans un lieu où il est peu attendu, et de le mettre à la portée des jeunes que nous formons », souligne un cadre du régiment, impliqué dans le projet. Aux ordres de l’adjudant Radoine, l’équipe du SMCA s’est mobilisée avec rigueur afin que tout soit opérationnel pour le régiment.

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Une sélection artistique de haut niveau

Après une sélection exigeante menée par un jury composé d’artistes et de représentants institutionnels, le duo martiniquais Corentin de Sieter et Mehdi Michalon a été retenu pour réaliser l’œuvre. Leur fresque intitulée "Le quartier des sourires" a séduit par son originalité et sa capacité à représenter les stagiaires du RSMA.

L’artiste Ernest Breleur, membre du jury, rappelle : « Pour ce type de projet, la dimension artistique est ce qui fait la force d’un candidat. Ici, nous avons une œuvre qui parle aux jeunes et s’intègre parfaitement au lieu. »

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Un lieu de vie et de transmission

La fresque, installée dans le magasin du corps, accompagnera désormais chaque jeune à son entrée au régiment. Plus qu’un simple décor, elle s’impose comme un symbole d’ouverture et de dialogue entre la jeunesse, l’art et la société.